Balancier de mon cœur en pile ou face,
Dont j’aime lustrer de l’œillet sa surface,
Ton cul, si doux, si rond, offrande aux mamours,
J’adore l’enfiler en compte à rebours,
Venir du pendule, régler sa jouissance,
Égrener le rythme au pas de la danse,
Ne pas aller trop vite, garder le tempo,
Pour à l’instant précis, y faire le dépôt
De ma grande aiguille, dans ton bidule,
T’onduleras des claques de ma férule,
En attendant l’heure de cette rencontre,
Tes premiers spasmes joueront contre la montre,
Du fondement t’en sentiras la brûlure,
Le carillon en éteindra la torture.
Dont j’aime lustrer de l’œillet sa surface,
Ton cul, si doux, si rond, offrande aux mamours,
J’adore l’enfiler en compte à rebours,
Venir du pendule, régler sa jouissance,
Égrener le rythme au pas de la danse,
Ne pas aller trop vite, garder le tempo,
Pour à l’instant précis, y faire le dépôt
De ma grande aiguille, dans ton bidule,
T’onduleras des claques de ma férule,
En attendant l’heure de cette rencontre,
Tes premiers spasmes joueront contre la montre,
Du fondement t’en sentiras la brûlure,
Le carillon en éteindra la torture.