Concours terminé - poème engrangé.
J'ai habité prés de la mer
Et j'y marchais seul tout l'hiver
En des jours de grande tempête
Et d'autres fois que vaguelettes
Falaises aux bords dépouillés
Bords de l'eau, sable mouillé
Lieux propices à la rêverie
Poussant à la sauvagerie
D'autres fois tout à la splendeur
De la nature qu'on traverse
Tout ce qui fait battre le cœur
Une osmose qui bouleverse
Bien plus tard ce fut le désert
Et l'oasis aux arbres verts
Il faisait bon marcher dans l'ombre
L'esprit perdu et souvent sombre
Roucoulement des tourterelles
Et le bruissement de leurs ailes
Un chant soudain venu d'ailleurs
Quidam croisé, assis tailleur
Chaleur écrasante l'été
La nuit le sable devient frais
Une marche sous les étoiles
Un mystère qui se dévoile
Passe le temps, vint la montagne
J'y étais seul pas de compagne
Par les sentiers je m'en allais
Fusil en main et je chassai
Mais les perdrix qui s'envolaient
Et les lapins qui détalaient
Pouvaient bien le faire sans craindre
Mes tirs de loin sans les atteindre !
Après le temps où je courais
Ce fut le retour à la marche
Pas pour autant en patriarche
avec sorties où je vibrais
Nous pratiquions le même sport
Mais cruelle ironie du sort
Il a fallu que je m'éloigne
Parfois la tristesse m'empoigne
Je marche seul chaque matin
Mais pas toujours dans le chagrin
le chant des oiseaux m'accompagne
Et mon esprit bat la campagne
Je croise des Mémés à chien
Elles jacassent, eux ne disent rien
Je suis doublé par des joggeuses
Elles sourient, paraissent heureuses
Cela me fait penser à TOI
Un bref instant de désarroi
Mais j’attends ton prochain voyage
Sur ce futur c'est l'embrayage ...
Jan
Et j'y marchais seul tout l'hiver
En des jours de grande tempête
Et d'autres fois que vaguelettes
Falaises aux bords dépouillés
Bords de l'eau, sable mouillé
Lieux propices à la rêverie
Poussant à la sauvagerie
D'autres fois tout à la splendeur
De la nature qu'on traverse
Tout ce qui fait battre le cœur
Une osmose qui bouleverse
Bien plus tard ce fut le désert
Et l'oasis aux arbres verts
Il faisait bon marcher dans l'ombre
L'esprit perdu et souvent sombre
Roucoulement des tourterelles
Et le bruissement de leurs ailes
Un chant soudain venu d'ailleurs
Quidam croisé, assis tailleur
Chaleur écrasante l'été
La nuit le sable devient frais
Une marche sous les étoiles
Un mystère qui se dévoile
Passe le temps, vint la montagne
J'y étais seul pas de compagne
Par les sentiers je m'en allais
Fusil en main et je chassai
Mais les perdrix qui s'envolaient
Et les lapins qui détalaient
Pouvaient bien le faire sans craindre
Mes tirs de loin sans les atteindre !
Après le temps où je courais
Ce fut le retour à la marche
Pas pour autant en patriarche
avec sorties où je vibrais
Nous pratiquions le même sport
Mais cruelle ironie du sort
Il a fallu que je m'éloigne
Parfois la tristesse m'empoigne
Je marche seul chaque matin
Mais pas toujours dans le chagrin
le chant des oiseaux m'accompagne
Et mon esprit bat la campagne
Je croise des Mémés à chien
Elles jacassent, eux ne disent rien
Je suis doublé par des joggeuses
Elles sourient, paraissent heureuses
Cela me fait penser à TOI
Un bref instant de désarroi
Mais j’attends ton prochain voyage
Sur ce futur c'est l'embrayage ...
Jan
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